J’ai tellement envie de jouer à Mario Bros, là! =P
Apprendre à travers les épreuves. Réécrire son histoire. Récits plus ou moins fictionnels.
04 décembre 2010
24 novembre 2010
meurtres et autres petites douceurs
Voir Rachel Shelley (la jolie Helena Peabody dans
The L Word) se faire crever l’oeil, une petite connasse blonde se faire étamper
contre un hood de char, ça n’a pas de
prix.*
Pas besoin de mentionner que ce film n’a pas du
remporter grand succès. Transformer des enfants en monstres assoiffés de sang,
comme excuse pour mieux les buter, je crois que ce n’est pas très politically correct. Je crois, mais ce n’est
que mon avis. Tant qu’à moi, je trouve qu’un film où des enfants se font tuer…
c’est vraiment GÉNIAAAL.
J’me sentais mal pour les parents en train de se
vider de leurs liquides, mais je gloussais de plaisir en voyant leur progéniture.
Docteur, suis-je normale?
* Pour ceux se demandant, je fais référence au “chef-d’oeuvre”
cinématographique appelé The Children.
21 octobre 2010
grab all you can
The grabbing hands grab all they can
All for themselves – after all
The grabbing hands grab all they can
All for themselves – after all
It’s a competitive world
Everything counts in large amounts
The grabbing hands grab all they can
Everything counts in large amounts
All for themselves – after all
The grabbing hands grab all they can
All for themselves – after all
It’s a competitive world
Everything counts in large amounts
The grabbing hands grab all they can
Everything counts in large amounts
This world is meaningless
What am I doing, being selfless?
What am I doing, being selfless?
14 octobre 2010
à moi le sang
Je suis dans un cours et je n’écoute pas, car j’aimerais
être ailleurs
Comme une mouche sur une plage en train de se faire dorer, sans se faire toutefois attraper par la salamandre grise
de ses nuits torturées
Parfois, les mots me manquent car ma langue est devenue de feu, glacée
Brisée sur des falaises immatérielles, mais oh combien destructrices
Du métal de roche embué, comme les dernières larmes versées d’un clochard malmené
Ce clochard qui nous habite tous
À jamais, dans mes mots
À moi le sang
Comme une mouche sur une plage en train de se faire dorer, sans se faire toutefois attraper par la salamandre grise
de ses nuits torturées
Parfois, les mots me manquent car ma langue est devenue de feu, glacée
Brisée sur des falaises immatérielles, mais oh combien destructrices
Du métal de roche embué, comme les dernières larmes versées d’un clochard malmené
Ce clochard qui nous habite tous
À jamais, dans mes mots
À moi le sang
29 septembre 2010
hypothèse I
Le rouleau se dévide telle la mort du
papier-toilette dans le bol rempli de matière filandreuse, restes de la veille
et de l’avant-veille. J’me tourne vers l’horloge qui indique ma mort. Qu’est-ce?
Sinon une brève étoile mourant à l’horizon de mes pensées vaporisées (comme du
Lysol dans une salle de bain funéraire). Je compte mes doigts, trêve de
plaisanteries: le plastique ténu ne cesse de se tendre comme l’hypothalamus
incompris.
Cette chaîne rouillée se balançant au-dessus du coma écarlate ne sera-t-elle pas sans sens antihoraire?
Devrais-je régler mon cadran sur une autre dimension?
Cette chaîne rouillée se balançant au-dessus du coma écarlate ne sera-t-elle pas sans sens antihoraire?
Devrais-je régler mon cadran sur une autre dimension?
Où sont les craquelins coulants de mes paumes?
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