It's unfortunate that when we feel a storm,
we can roll ourselves over 'cause we're uncomfortable
Oh well the devil makes us sin
But we like it when we're spinning, in his grin.
Love is like a sin my love
For the ones that feels it the most
Look at her with her eyes like a flame
She will love you like a fly will never love you, again
It's unfortunate that when we feel a storm,
we can roll ourselves over when we're uncomfortable
Oh well the devil makes us sin
But we like it when we're spinning, in his grin.
Love is like a sin my love
For the one that feels it the most
Look at her with her smile like a flame
She will love you like a fly will never love you, again
- Paradise Circus
Apprendre à travers les épreuves. Réécrire son histoire. Récits plus ou moins fictionnels.
30 octobre 2011
20 octobre 2011
Puisque c'est la fin des blogs..
Eh bien soit. J'ai décidé de rouvrir mon fidèle Blogger, (anciennement Divine Infekt), afin de faire front commun à la vague sans merci des Twitter, Facebook et compagnie. Je trouve que plus on va, moins les gens prennent le temps d'écrire et de s'exprimer correctement sur Internet. Ça me manque. Depuis 2008 j'étais sur Facebook, trahissant mon valeureux compagnon le blogue (ou blog?). Mais c'est fini, tout ça.
D'autant plus que je refait peau neuve, car j'ai malencontreusement perdu la sauvegarde de la base de données de sa création jusqu'à son transfert sur un domaine dédié. Ce qui n'est pas plus mal, j'en suis certaine.
Je ne sais pas s'il y a encore des gens qui «blogguent» quotidiennement, ou hebdomadairement, mais je suis tombée sur plusieurs dont la parution de la dernière note était plus récente que la date de péremption de mes deux derniers œufs qui pourrissent au fond de mon réfrigérateur. (Le 12 octobre. De cette année.)
Je vais faire un ménage, pour que bébéblog ne se sente pas trop poussiéreux. Parce qu'il fait tellement 2007.
Père Noël, faites que ce soit pas vraiment la fin des blogs...
*Modification: Après vérification, j'ai ouvert «ce» blogue en 2007. J'avais 20 ans. Ce qui me rends nostalgique et me fait penser à cette chanson d'Aznavour:
Hier encore j'avais vingt ans
Je caressais le temps et jouais de la vie
Comme on joue de l'amour et je vivais la nuit
Sans compter sur mes jours qui fuyaient dans le temps
J'ai fait tant de projets qui sont restés en l'air
J'ai fondé tant d'espoirs qui se sont envolés
Que je reste perdu, ne sachant où aller
Mes yeux cherchant le ciel mais le coeur mis en terre
Oui. Il peut m'arriver aussi d'être mélancolique...
D'autant plus que je refait peau neuve, car j'ai malencontreusement perdu la sauvegarde de la base de données de sa création jusqu'à son transfert sur un domaine dédié. Ce qui n'est pas plus mal, j'en suis certaine.
Je ne sais pas s'il y a encore des gens qui «blogguent» quotidiennement, ou hebdomadairement, mais je suis tombée sur plusieurs dont la parution de la dernière note était plus récente que la date de péremption de mes deux derniers œufs qui pourrissent au fond de mon réfrigérateur. (Le 12 octobre. De cette année.)
Je vais faire un ménage, pour que bébéblog ne se sente pas trop poussiéreux. Parce qu'il fait tellement 2007.
Père Noël, faites que ce soit pas vraiment la fin des blogs...
*Modification: Après vérification, j'ai ouvert «ce» blogue en 2007. J'avais 20 ans. Ce qui me rends nostalgique et me fait penser à cette chanson d'Aznavour:
Hier encore j'avais vingt ans
Je caressais le temps et jouais de la vie
Comme on joue de l'amour et je vivais la nuit
Sans compter sur mes jours qui fuyaient dans le temps
J'ai fait tant de projets qui sont restés en l'air
J'ai fondé tant d'espoirs qui se sont envolés
Que je reste perdu, ne sachant où aller
Mes yeux cherchant le ciel mais le coeur mis en terre
Oui. Il peut m'arriver aussi d'être mélancolique...
30 décembre 2010
Variation on the word sleep
I would like to watch you sleeping.
I would like to watch you,
sleeping. I would like to sleep
with you, to enter
your sleep as its smooth dark wave
slides over my head
I would like to watch you,
sleeping. I would like to sleep
with you, to enter
your sleep as its smooth dark wave
slides over my head
and walk with you through that lucent
wavering forest of bluegreen leaves
with its watery sun and three moons
towards the cave where you must descend,
towards your worst fear
wavering forest of bluegreen leaves
with its watery sun and three moons
towards the cave where you must descend,
towards your worst fear
I would like to give you the silver
branch, the small white flower, the one
word that will protect you
from the grief at the center
of your dream, from the grief
at the center. I would like to follow
you up the long stairway
again & become
the boat that would row you back
carefully, a flame
in two cupped hands
to where your body lies
beside me, and you enter
it as easily as breathing in
branch, the small white flower, the one
word that will protect you
from the grief at the center
of your dream, from the grief
at the center. I would like to follow
you up the long stairway
again & become
the boat that would row you back
carefully, a flame
in two cupped hands
to where your body lies
beside me, and you enter
it as easily as breathing in
I would like to be the air
that inhabits you for a moment
only. I would like to be that unnoticed
and that necessary
that inhabits you for a moment
only. I would like to be that unnoticed
and that necessary
— Margaret Atwood
(http://boppin.com/poets/atwood.htm)
28 décembre 2010
L'oeil
Une voix m’a dit d’écrire. Je la suis et puis je
ris
Une voix m’a dit d’écrire. Je la suis, puis ensuite..
J’écoute.
Do you care enough to see
Is it pain and misery?
Une voix m’a dit de pleurer, hier soir
Mais je ne savais pas pourquoi
Alors je ne l’ai pas fait
Je suis toute seule, dans mon monde
Toute seule à comprendre et à voir
Ce que parfois d’autres peine à apercevoir
Mais percevoir n’est qu’une partie de l’équation
Là où il faut réellement porter attention
À ce que l’on veut
Afin de vraiment
Une voix m’a dit d’écrire. Je la suis, puis ensuite..
J’écoute.
Do you care enough to see
Is it pain and misery?
Une voix m’a dit de pleurer, hier soir
Mais je ne savais pas pourquoi
Alors je ne l’ai pas fait
Je suis toute seule, dans mon monde
Toute seule à comprendre et à voir
Ce que parfois d’autres peine à apercevoir
Mais percevoir n’est qu’une partie de l’équation
Là où il faut réellement porter attention
À ce que l’on veut
Afin de vraiment
V
O
I
R
O
I
R
20 décembre 2010
Lâcher prise
J’peux savoir c’que j’ai fait au monde pour mériter
tout ça? Je ne comprends pas ce qu’il faut faire. Est-ce que quelqu’un aurait
un mode d’emploi? Pourquoi ai-je l’impression d’être la seule à vraiment
vouloir? Pourquoi toujours devoir creuser pour avoir ces réponses? Pourquoi ce
sentiment d’impuissance face à l’autre? Pourquoi ressentir ce manque criant,
loin des yeux. Ce mal qui hurle, et demande qu’est-ce qui ne va pas? Pourquoi
ne pas pouvoir se contenter des miettes de l’être X? Pourquoi se sentir comme
un à-côté qu’on sort seulement quand on a envie de se sentir aimé? Quand on
estime qu’il est temps? Que l’on fonctionne toujours avec sa propre horloge.
Que l’on se murmure que rien ne changera. Pourquoi? Est-ce que cela n’en vaut
pas la peine? Est-ce que c’est trop, que de vouloir? Est-ce que c’est vouloir,
que de désirer? De vouloir avoir..? Je ne veux pas posséder. Je veux partager.
Pourquoi ce sentiment de culpabilité? De ne jamais être à la hauteur? De s’effacer,
afin de plaire à l’autre? Alors que l’autre, lui, fera bien ce que bon lui
semble. De trop respecter l’autre alors qu’on s’oublie? Je suis égoïste, car je
veux tout? En ai-je le droit?
S'abonner à :
Messages (Atom)